Carte interactive des sentiers : secteur Sud

Église Saint-Félix de Cap Rouge

L'église Saint-Félix-de-Cap-Rouge est un lieu de culte est en fonction depuis sa construction en 1859. Le lieu est associé au potentiel mémoriel du botaniste Léon Provancher (inhumé en cette église). À l'extérieur, un monument honore la mémoire et l'œuvre de cet abbé.

Le site religieux de l'église Saint-Félix-de-Cap-Rouge présente un espace sacré traditionnel et complet avec son presbytère et son cimetière. Le site est remarquable par son caractère naturel et bucolique, au cœur du Vieux-Cap-Rouge et en bordure de la rivière Cap-Rouge.

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Belvédère

À partir de ce belvédère, il est possible d’avoir une vue sur le pont du Tracel et sur l’embouchure de la rivière du Cap Rouge. Vous pourriez prendre un moment pour observer la faune. Les battures de l’anse du Cap Rouge représentent un site d’alimentation de prédilection pour les oiseaux migrateurs. Parmi les espèces qui y sont le plus souvent observées, on note la bernache du Canada, l’oie blanche et plusieurs espèces de canards. Il sera également possible d’apercevoir les différentes embarcations proposées par le parc nautique.

La Maison Léon-Provancher

La Maison Léon-Provancher est un lieu de découverte et de mise en valeur des sciences naturelles et de l’histoire situé au cœur du Vieux-Cap-Rouge. La maison originale a été construite en 1845 sur le chemin du moulin, qui porte désormais le nom de rue Provancher en hommage à l’abbé Léon Provancher, prêtre et naturaliste québécois. C’est dans cette maison qu’il y a réalisé la majeure partie de son travail scientifique, entre 1872 et 1892.

La Maison favorise le rapport avec le milieu naturel et l’expérimentation afin de susciter l’émerveillement et stimuler la curiosité. Des activités éducatives destinées aux jeunes de 3 à 12 ans et à leur famille y sont offertes.

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Parc nautique de Cap Rouge

L’embouchure de la rivière du Cap Rouge représente un milieu exceptionnel pour la région de Québec. Site périurbain permettant la pratique d’activités récréatives et de plein air, c’est dans cette zone que la rivière est à son plus large.

Le parc nautique de Cap-Rouge se situe sur un parcours digne des plus jolis réseaux de villégiature qui soient. Lieu de prédilection pour les marcheurs à longueur d’année, il propose une multitude d’activités aquatiques en été : voile, canot, kayak, planche à voile et pédalo. Des sorties sur la rivière du Cap Rouge à bord d’une embarcation pontée sont également offertes.

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Parc Jean-Déry

Ce parc est nommé en l'honneur de Jean Déry, président fondateur de la Société historique du Cap-Rouge en 1974. Il y est également possible d’observer le monument Jacques-Cartier installé depuis 2016.

Dans ce parc, vous avez une vue sur le fleuve Saint-Laurent et la possibilité de pique-niquer. De plus, il est à quelques pas du site archéologique Cartier-Roberval qui témoigne des traces exceptionnelles laissées par la première colonie française d’Amérique.

Pont du Tracel

Au début du XXe siècle, la compagnie National Transcontinental Railway entreprit la construction du tronçon est du nouveau réseau ferroviaire transcontinental qui devait relier Winnipeg à Moncton. Afin de réduire le parcours et d'atténuer les courbes et les pentes, la compagnie choisit un tracé qui traversait la rivière du Cap Rouge. La construction d'un viaduc ou pont sur chevalets s'impose alors. Les travaux sont réalisés entre 1906 et 1913. À la suite de l'ouverture du pont de Québec, en 1917, le tracel (du mot anglais trestle) peut enfin être utilisé.

Haut de 50 mètres (176 pieds) et long de plus de 1 kilomètre, (3 335 pieds) l'ouvrage compte 30 piliers et pèse 4288 tonnes. On voit régulièrement des trains de marchandises traversant le tracel à vitesse réduite. Il permet toujours le transport sur la ligne de chemin de fer entre le Lac St-Jean, l'Abitibi et les Maritimes via le Pont de Québec.

Site archéologique Cartier-Roberval

Plus de 6 000 artefacts du 16e siècle ont été mis au jour ainsi que les vestiges d’au moins cinq aires de construction. Des objets et des restes d’aliments de luxe laissent supposer qu’un secteur était réservé à l’élite. La présence de poterie iroquoienne et de restes de plantes attestent d’échanges entre Français et Autochtones. Ce site témoigne donc de la première colonisation française en Amérique.

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